Moteur :
Appareil transformant différentes formes d'énergie en énergie mécanique, permettant le déplacement d'une automobile. De nos jours la grande majorité des moteurs fonctionnent grâce à un système de pistons qui suit un cycle à 2 ou 4 temps. L'énergie de ces moteurs provient de l'explosion produite par un mélange d'air et d'hydrocarbures.

Boite à vitesse manuelle :
La boite de vitesse automobile sert à démultiplier le mouvement du moteur pour le transmettre aux roues. La première vitesse est la moins démultipliée et la dernière vitesse (quatrième, cinquième ou bien sixième ça dépend du genre de voiture) est la plus démultipliée.

L'embrayage :
L'embrayage fait la liaison entre le moteur et la boite de vitesse. Le système d'embrayage est l'élément mécanique qui permet de transmettre (embrayé) ou de ne pas transmettre (débrayé) la puissance et le couple moteur à la boite de vitesse qui elle même la transmet aux roues. Le débrayage permet de passer les vitesses sans contraintes. Un embrayage est composé d'un mécanisme, d'un disque et d'une butée. Cet ensemble est appelé kit d'embrayage.

Courroie de distribution :
Pièce essentielle dans le fonctionnement d'un moteur, la courroie de distribution doit être changée à des intervalles régulier sous peine de destruction de moteur. Elle transmet le mouvement rotatif du vilebrequin à l'arbre à cames.

LE FREINAGE :
Un système mécanique essentiel pour votre sécurité et celle de vos passagers. Ce système doit répondre efficacement à toutes vos sollicitations. Son efficacité est étroitement liée à l'état d'usure des pneumatiques et des amortisseurs de votre véhicule. Des "garnitures de freins", plaquettes ou mâchoires, trop usées entraînent irrémédiablement la destruction des disques ou des tambours. Nous vous conseillons de Vérifier régulièrement votre système de freinage et de Remplacer votre liquide de freins tous les 2 ans(liquide qui absorbe l'humidité au fil des ans).

Le cylindre :
Comme son nom l'indique, c'est un tube creux. Il est composé d'un acier particulier, et sa surface a subi un traitement qui le rend résistant aux températures élevées, ainsi qu'aux frottements. Il est emboîte dans un bloc moteur.

Le piston :
Pièce en forme de cylindre bougeant dans un tube recevant et transmettant la pression exercée par le carburant. . Il peut être composé de différents matériaux. Le plus courant aujourd'hui est un alliage d'aluminium.

Les bougies :
Les pièces électriques générant des étincelles pour l'allumage d'un moteur à explosion. La bougie tient un rôle clef dans le fonctionnement du moteur de la voiture. Les moteurs d'essence fonctionnent avec des bougies d'allumage, les moteurs diesel fonctionnement avec des bougies de préchauffage.

Les amortisseurs :
Les amortisseurs, en "collant" les pneus à la route, ont pour objet de rendre votre voiture plus confortable et plus sûre à conduire. La suspension d'une voiture influe sur : -Le confort
-La tenue de route en courbe, au freinage ou à l'accélération.
-Les distances de freinage.

Les AMORTISSEURS doivent être EN PARFAIT ETAT

L'échappement :
L'échappement auto est un produit de haute technicité qui joue un rôle essentiel dans le confort accoustique et pour la protection de l'environnement. La ligne d'échappement permet de Réduire les bruits des gaz d'échappement, Réduire la vitesse des gaz d'échappement, Réduire la température des gaz d'échappement et Réduire les éléments toxiques contenus dans les gaz d'échappement.

Les segments :
Ils sont fixes autour du piston et font le joint entre celui-ci et le cylindre. Il y en a plusieurs, et chacun remplit une fonction différente, tels que le raclage du surplus d'huile sur le cylindre, ou l'étanchéité entre la chambre de combustion et le carter.

Les filtres :
Il existe trois catégories de filtres : Les filtres à huile, air et carburants:
- Ces filtres protègent votre moteur, prolongent sa durée de vie, et améliorent ses performances.
- Ils filtrent les impuretés internes et externes.
- Il est important et rentable de les vérifier et de les remplacer régulièrement.

Les lubrifiants :
Pour bien rouler, votre voiture a besoin de carburant pour produire de l'énergie, d'air pour pouvoir brûler le carburant dans le moteur et d' huile pour lubrifier en permanence les pièces en action dans le moteur.

Les soupapes :
Les soupapes sont les éléments qui obstruent l'accès entre le cylindre et la tubulure d'admission (la ou arrivent les gaz frais) ou a la tubulure d'échappement. Les soupapes contrôlent l'entrée et la sortie des gaz dans le cylindre. Elles sont fermées par de forts ressorts et alternativement ouvertes au moment voulu, directement ou indirectement, par des cames montées sur un ou des arbres nommés arbres à cames.

Bielle :
Tige qui transmet le mouvement des pistons au moteur.

Vilebrequin:
C'est ensemble des bielles transformant le mouvement longitudinal du piston en un mouvement rotatif.

Quand un accident a lieu entre deux véhicules, le constat est l'outil utilisé pour définir les torts de chaque partie.

Un constat amiable est un document irrévocable dès lors qu'il est signé par les parties concernées. Il est donc important de le remplir avec soin et surtout de ne pas le signer si vous contestez sa teneur.

Il sert surtout pour les assurances qui décident à partir de ce document qui doit payer. C'est pour cela qu'il doit être rempli avec précaution.

Nous vous vous proposons certains astuces et conseils pour remplir correctement votre constat à l'amiable pour ne pas avoir de mauvaise surprise au final.

- Zen, restons zen
Un accident est toujours une situation énervante. Cela n'arrive jamais au bon moment et cela pour les deux conducteurs. Le maître mot reste donc garder son sang-froid. Avec de la courtoisie, le constat sera beaucoup plus simple à remplir.

- Une photo, un vrai plus
Pour vraiment compléter votre dossier, vous pouvez faire une photo des véhicules en situation en prenant la plaque d'immatriculation et donner une vue générale de l'accident.

- Mal rempli, c'est 50-50
Si vous remplissez mal votre constat à l'amiable, il sera difficile pour l'assureur de se faire une idée des circonstances de l'accident. Dans ce genre de situation, les assureurs déclarent que les responsabilités sont à partager 50-50 entre les deux conducteurs.

- Pré-rempli, c'est mieux rempli
Chaque conducteur doit remplir sa partie. Il s'agit d'identifier le conducteur, le véhicule et de préciser vos coordonnées d'assurance. Vérifiez l'exactitude des renseignements de l'autre conducteur. Si vous n'êtes pas superstitieux, il peut être pratique de remplir cette partie à l'avance.

- Cinq jours de délai
Après votre accrochage, vous avez cinq jours pour envoyer votre constat à votre société d'assurances ou à son représentant. N'oubliez pas d'indiquer au verso le lieu où le véhicule peut être expertisé.

- Un constat par accrochage
Sachez que vous devez fournir un constat par véhicule heurté. Ainsi, si vous emboutissez la voiture devant vous et qu'ensuite la voiture derrière vous accroche, il faudra remplir deux constats.

- Des informations objectives
Quand vous remplissez le constat, pensez à être le plus objectif possible. Les termes comme "allure rapide" ne donnent que peu d'indications. Et même si vous mettez 70km/h, cela ne peut être pris en compte sauf si un radar peut l'attester.

- La police ou la gendarmerie en renfort
Avant d'en venir aux mains, si vous constatez qu'aucune entente n'est possible avec l'autre conducteur, appelez la police ou la gendarmerie (XXX depuis un portable). Vous pouvez aussi la contacter si l'autre conducteur ne veut pas signer le constat mais pensez à relever le numéro d'immatriculation (si jamais il prend la fuite).

- Ne pas chercher qui a tort ou raison
Quand l'accident se produit, il ne sert à rien de vouloir faire admettre à l'autre qu'il est en tort et inversement. Le but du constat est justement de mettre les fautes en évidence objectivement. Ce sont les assurances qui règlent cette histoire et déterminent les fautes.

- Relisez le constat avant de signer
Le constat doit obligatoirement être signé par les deux conducteurs. Avant de signer, vérifiez bien que vous avez renseigné tous les champs tout comme l'autre conducteur. Une fois le document paraphé, vous ne pouvez plus rien modifier. Chaque partie doit en prendre un exemplaire pour son assureur.

L'assurance "responsabilité civile" :

L'assurance "responsabilité civile" garantit l'indemnisation des dommages matériels et corporels causés à autrui par le conducteur de la voiture ou par ses passagers lors d'un accident. Elle est obligatoire pour tout automobiliste, et est par conséquent incluse dans tout contrat d'assurance automobile.

L'assurance auto "au tiers" et "tous risques":

Tout conducteur doit, au minimum, être assuré pour les dommages corporels et matériels causés aux tiers par le véhicule assuré.Cette assurance minimum obligatoire est appelée assurance "au tiers".

Les assurances "tous risques" comportent des garanties plus étendues et couvrent notamment les dommages causés à votre voiture, quel qu'en soit le responsable, même si c'est le conducteur (sauf conduite en état d'ivresse), et même si le responsable n'est pas identifié (vandalisme, par exemple). L'assurance "tous risques" permet donc une meilleure indemnisation qu'une assurance "au tiers".

Le Bonus/Malus (ou Coefficient de Réduction/Majoration) :

Le Bonus-Malus a pour effet d'adapter le montant de la prime/cotisation d'assurance au comportement du ou des conducteurs du véhicule assuré. Lorsque vous ne causez pas d'accident, vous bénéficiez d'un bonus et votre prime s'en trouve, normalement, diminuée ; en revanche, si vous provoquez un accident, vous serez pénalisé d'un malus et vous payerez une cotisation plus élevée.

Comment est calculée la prime d'assurance auto ?

De très nombreux facteurs influencent les tarifications que les compagnies d'assurance offrent à leurs clients. Chaque compagnie peut apprécier un même risque différemment. Ce profil est constitué à partir de critères qui vous sont propres (âge, adresse, profession...), d'informations relatives à votre véhicule et à l'usage que vous en faites, et tient compte de vos antécédents en terme de sinistres.

Expérimenté, confirmé ou novice, un conducteur n'est jamais à l'abri d'un accident, du fait qu'il n'est pas le seul à circuler sur la chaussée. Les piétons, les bicyclettes et les voitures qui le croisent constituent en effet un danger potentiel pour lui et réciproquement. Cependant, Conduire est une activité complexe mettant en jeu les capacités physiques de l'être humain, concentration, perception, attention visuelle et auditive, coordination fine des mouvements et adaptation du comportement aux événements, etc.

Une bonne conduite implique le respect des règles du code de la route, pour préserver votre vie, la vie de vos passagers et celles des autres usagers de la route!

Vous trouverez ci-après, plusieurs conseils qui nous paraissent utiles pour prendre la route en forme et conserver la forme au volant.

Lisez très attentivement ces conseils.

Nous disons bien ** TRES ATTENTIVEMENT ** parce qu'il vous faut vraiment sentir et faire ce qui est indiqué pour une bonne conduite car la lecture pourra parfois vous paraître Evidente mais si vous analysez et comparez ce que vous faites vraiment dans la pratique, vous constatez des différences essentielles.

- Respectez la limitation de vitesse : SOYEZ VIGILANT!

- Consultez fréquemment l'indicateur de vitesse pour ne pas vous laissez surprendre : SOYEZ VIGILANT !

- Soyez toujours conscient (e) de la limite de vitesse. Prenez l'habitude d'établir votre vitesse en fonction des conditions météorologiques et de l'état de la route. Maintenez une distance suffisante entre votre véhicule et celui qui vous précède en utilisant la règle des deux à trois secondes

- La fatigue augmente la durée de la conduite et altère vos performances. Donc, évitez de conduire plus de 6 à 8 heures par jour.

- Restez en permanence attentif à la route et surveillez votre environnement de conduite (usagers, trottoirs, etc..)

- Vous souffrez d'un manque de sommeil. Ne luttez pas, arrêtez-vous et dormez ! Une pause active s'avère nécessaire. Divertissez-vous de manière relaxante (jeux, lecture, ...)

- Redoublez de vigilance la nuit car le sommeil peut vous surprendre.

- Si vous prenez un médicament, lisez attentivement la notice pour connaître ses effets sur la conduite routière ** sa prise est susceptible d'entraîner une baisse de vigilance **.

- Vous gardez le sang-froid en toutes circonstances et ne vous énervez pas au volant, notamment en cas d'encombrements.

- Acceptez le rythme de conduite des autres usagers de la route, hommes et femmes, en particulier, les conducteurs inexpérimentés ou âgés.

- Restez concentrer sur votre conduite.

- Restez plus attentif (ve) ou prévenant (e) vis-à-vis des usagers les plus exposés au danger : piétons, enfants, cyclistes et motocyclistes.

- Sur l'autoroute, évitez de monopoliser la file gauche et vous vous rabattrez aussitôt après avoir doublé un véhicule.

- Respectez les piétons, notamment en leur cédant le passage lorsqu'ils traversent sur un passage pour piétons.

- Adaptez votre vitesse en fonction des usagers rencontrés et du lieu traversé.

- Ne pas boire d'alcool avant de conduire: il diminue la vision, les réflexes et augmente les temps de réaction. Il est en cause dans plus d'un accident mortel sur trois.

- Ne pas rouler vite de nuit ni par mauvais temps, car le champ de vision est réduit.

- Adapter la vitesse aux conditions de circulation.

- Une bonne position au volant, ni trop près ni trop loin des commandes donne une plus grande facilité de conduite et par suite, une meilleure sécurité.

- Soyez toujours conscient (e) de ce qui se passe autour de vous et surveillez les personnes et les véhicules qui vous entourent.

- Regardez souvent dans vos rétroviseurs et vérifiez votre angle mort en jetant un coup d'oeil pardessus votre épaule avant d'effecteur un virage ou de changer de voie.

- Quand il fait nuit, la conduite est plus risquée, car la visibilité est réduite. En allumant les pleins phares, il vous sera plus facile de voir devant vous. Mais n'oubliez pas de mettre les phares en code lorsque des véhicules viennent vers vous.

- La pluie rend les routes glissantes et les pneus ont moins d'adhérence. De plus, la visibilité est réduite. Quand il pleut, il faut freiner, tourner, changer de voie et dépasser en douceur.

- Le brouillard réduit la visibilité de tous les usagers de la route. Réduisez votre vitesse, avancez prudemment et mettez les phares en code (n'utilisez pas les pleins phares).

- La neige, la glace et la pluie verglaçante rendent les routes glissantes, allongent les distances de freinage et réduisent la visibilité. Ralentissez et laissez plus d'espace entre votre véhicule et celui qui vous précède.

- Au virage : Exercez-vous à actionner vos clignotants, ainsi qu'à prendre un virage et à en sortir dans la bonne voie et à la bonne vitesse.

- Intersections : Aux intersections, les piétons et les véhicules se déplacent dans plusieurs directions. Familiarisez-vous avec les différents types d'intersections, de panneaux et de feux de signalisation.

- La Priorité : Apprenez les règles de priorité, surtout aux intersections et lorsque vous changez de voie.

- Changements de voie : Prenez l'habitude d'actionner vos clignotants, de vérifier vos rétroviseurs, de vérifier votre angle mort en regardant par-dessus votre épaule et de changer de voie à la bonne vitesse. Les automobiles ne doivent pas se tenir dans l'angle mort des motocyclistes et vice-versa.

- Demi-tours et demi-tours en trois manœuvres : Apprenez à les effectuer au moment opportun. Lorsque vous apprenez ces manœuvres, surveillez les autres véhicules, les piétons et les cyclistes qui approchent.

- Stationnement et marche arrière : Apprenez à stationner votre véhicule dans un terrain de stationnement, dans une côte et en file. Apprenez également à diriger votre véhicule en douceur en marche arrière. Laissez suffisamment d'espace autour de votre véhicule et prenez garde aux piétons et aux autres véhicules.

- Rues à sens unique : Habituez-vous à entrer dans une rue à sens unique et à en sortir.

- Freinage : Apprenez à freiner en toute sécurité. Habituez-vous à regarder au loin et à freiner suffisamment à l'avance en exerçant une pression ferme et constante sur la pédale.

- Dépassement : Apprenez à dépasser les autres véhicules. Vérifiez la circulation au loin et dans le sens inverse, et ne dépassez que si vous pouvez le faire en toute sécurité. Accélérez de façon uniforme et laissez suffisamment d'espace derrière vous avant de réintégrer la bonne voie. - Attachez votre ceinture de sécurité de manière sécuritaire.

- Vérifiez la position du siège et appuie-tête. Une assise confortable atténue la fatigue du dos et des épaules.

- Vérifiez la position des rétroviseurs.

- Maintenez une distance de sécurité suffisante avec le véhicule qui précède.

- Ne téléphonez pas au volant, même avec le kit mains-libres.

- Contrôlez dans votre rétroviseur extérieur qu'il n'y a pas d'autres usagers avant de descendre de votre véhicule.

- Ne pas croiser les bras sur le volant et ne pas tenir le volant par les branches. Le contrôle du véhicule est moins performant et cela peut être dangereux en cas de choc et de gonflement de l'airbag.

- Pour pousser le vitesse, vous devez débrayer ** pousser l'embrayage ** bien a fond par le bout du pied. Si vous avez une bonne accélération possible, sans bruit excessif du moteur, vous avez le bon rapport de vitesse.

- Quand vous passez un rapport supérieur, vous devez poussez l'embrayage en lâchant l'accélérateur rigoureusement simultanément.

- Pour passer au point - mort, il faut toujours pousser l'embrayage. Pensez au gêne et au danger que vous occasionnez par un stationnement illicite sur les trottoirs, arrêts de bus, passages piétons ou pistes cyclables.

- Réactualisez vos connaissances des règles de conduite en effectuant, si nécessaire un stage de remise à niveau, notamment sur la réglementation.

Vous avez fait le tour de votre future voiture, vous venez de l'essayer et elle vous convient. Il reste les formalités administratives à régler.

Le vendeur doit vous fournir les papiers suivants :

- la carte grise barrée, datée et signée par lui (vérifiez la signature) ;
- le certificat de vente signé par ses soins (si possible devant vous) ;
- le certificat de passage et le rapport de contrôle d'un centre agréé plus le talon ;
- le certificat de non-gage (permet de vérifier que le véhicule n'est pas gagé par un organisme ou que les PV n'ont pas été impayés).

De votre côté :

- n'oubliez pas d'assurer votre voiture avant de l'utiliser soit en appelant votre assureur, soit en passant le voir ou en lui adressant un courrier ;
- faites le changement de carte grise qui répond au nom officiel de Certificat d'immatriculation et est, en quelque sorte, la carte d'identité de la voiture. Elle est délivrée par la préfecture du lieu d'habitation de son propriétaire.

L'immatriculation doit s'effectuer dans un délai de 15 jours à compter de la date d'achat de la voiture sous peine d'amende.

Plusieurs pièces sont à fournir :

- un justificatif de domicile et une pièce d'identité (ou une copie en cas de demande par correspondance). Le justificatif de domicile doit dater d'au moins 3 mois (il peut s'agir d'une quittance de loyer, d'une facture EDF ou de téléphone) ;

- si c'est une voiture d'occasion, l'ancienne carte grise barrée par le précédent propriétaire portant la mention cédée le..... ou vendue le .... ;

- le formulaire rempli, daté et signé de " Demande de certificat d'immatriculation d'un véhicule "

- un certificat de cession remis par le vendeur (ou l'ancien propriétaire) ou encore la facture d'achat ;

- un certificat de conformité délivré par le vendeur ;

- le paiement en chèque ou en espèces de la valeur de la taxe (taxe qui varie suivant les départements) ;

- si c'est une voiture d'occasion, un certificat de non gage et de non-opposition (si la voiture provient d'un autre département) ;

- la preuve du contrôle technique (si le véhicule a plus de 4 ans) datant de moins de 6 mois ou de moins de 2 mois si une contre-visite a été prescrite.